Arrivée à 9 h au Nautilys, d'abord le choc ! Une vraie salle de concert ! Un décor très sobre, des rideaux noirs entourant la scène, des projecteurs multicolores, des studios de répétition où on entrerait en pantoufles, une salle de repos réchauffée par le soleil...
A peine remis de notre émotion, il ne fallait pas traîner pour installer le matériel et procéder aux multiples réglages. William au son, Jean-Jacques aux lumières et Loulou au matos sur scène, c'était en soi un vrai spectacle, chacun assurant sa tâche avec minutie, plus ou moins de patience et énormément de persévérence. Ce n'est pas Jean-Jacques qui me contredira ! Je n'ai pas compté ses allers-retours de la table de réglage au sommet de son échelle pour changer une couleur, remplacer un projecteur en panne... mais c'était une véritable épreuve d'endurance ! Avec son calme olympien, Loulou a organisé la scène et orchestré les changements de plateaux avec beaucoup de maîtrise, jusqu'au tabouret pour Philippe et ses béquilles ! Quant à William, ses réglages de son réalisés en vrai pro sur les retours notamment ont été applaudis par tous. Il a même pris le temps de m'expliquer l'utilisation de ses milliers de boutons !
Grâce à vous trois, cette journée a été passionnante !
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Dans ces conditions, la répète s'est révélée être un vrai concert. Depuis le 1er filage, le niveau est monté d'un cran. Les interprétations en ont fait vibrer plus d'un ! Il ne faut pas dévoiler toute cette magie et tenir les futurs spectateurs en haleine, mais je lève un coin du rideau...
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